Le soir tard ...

Sephiroth n'avait pas tout de suite reagit il pouvai tuer ce professeursiil le voulait mais il n'allait pas le faire toujour invisible il lui repondit

Bien que me voulez vous et heu le jeune homme est ministre de la magie vous le savez (en pensant aussi mangemort)

puis il fit aparaitre ses ailes et s'envola mais revint tout pres cete foi en dissmiulant son aura come sa l'hommeau capuchon ne pouvai pas savoir qu'il etait la et si il recomençait la sephiroth reagira et ce sera mauvais pour le professeur car sephiroth a pris la releve de voldemort et i l ait bien plus puissant que celui ci

L'homme capuchonné n'incista pas et laissa l'intru se libérer de ses sortilèges.

Lui ministre, il resta un peu septique. Il n'avait en aucun cas la stature du ministre de la magie. Mais soit, pourquoi mentirait-il, d'autant plus qu'il en eu la confirmation.

Ce n'était pas le même ministre que lorsqu'il était dans la brigade des aurors. En effet il avait fait partie de la garde rapproché du ministre pendant sa première année en tant qu'auror.

Mais cette aura si étrange lui disait quelques chose. Mais où avait-il bien pu la voir?

Soudain une suite rapide d'image défila devant ses yeux en une fraction de seconde:

Un sombre couloir aux murs de briques rouges....les ténèbres....Lui, plus jeune, courant dans celui ci....des ombres....les mangemorts....un rictus....un regard emplit de sentiments contradictoirs....un mur en or, dont dégouline du sang noir....la colère....la haine....du sang.....

S'était lui, le jeune enfant qu'il avait sentit la nuit de la trahison...lui qu'il avait vu avant de se réveiller à sainte mangouste.
Tout de suite il se méfia.
Mais pourtant rien n'apparu sur son visage, ni dans son esprit. Il resta calme et serein. Impassible et impénétrable.

Il tourna son visage ravagé, mais masqué par sa capuche vers l'homme invisible, laissant transparaître son oeil vert et sombre, au regard pénétrant et à la flamme impénétrable, et lui répondit d'un ton détaché, on ne peut plus serein.

"Et bien monsieur le ministre (mais il pensait plutôt au petit garçon tourmenté de la nuit de la trahison, certainnement hapé à présent par les mangmorts.) , je pense que c'est à vous que l'on doit retourner la question, car, me semble t'il, ce n'est pas moi qui me cachais pour écouter les discutions des gens, en utilisant de telles pratiques..."

Le borgne laissa l'intru s'en fuir, sachant bien qu'il allait revenir et qu'il l'aurait sur le dos.Décidément, ces jeunes étaient bien orgueuilleux, imbu d'eux même et trop sûr d'eux.
Ce qui causait bien souvent leur perte.

De plus l'occlumentie du ministre laissait à désirer, ainsi que sa legimentie, s'il se prétendait aussi fort. Il ne fallait pas grand effort à l'andicapé pour entre voir quelques pensées du ministre. Et son esprit n'avait jamais était pénétré par lui.
Cela vener surement de son surplux de confiance en lui même qui l'aveuglait.

Mais encore une fois il resta totalement fermé et insondable.

Puis il lencea un sortilège, imprononcé, de sa confection, qui, par la mise en place d'une bulle invisible, tel un blouclier, brouillait tte écoute et entré dans le périmètre, à toute personnes extèrieures, comme le jeune ministre.
Ce sortilège était inviolable, à moins de connaître le contre sort, que seul Semerus savait.

Puis il se tourna à nouveau vers le professeur de sortilège, et reprit comme si de rien n'était:

"Et bien mademoiselle, cette jeune femme moldue était d'une beauté à faire palir la rose, d'une gentillesse à toutes épreuves, mais, par ma faute elle fut sauvagement tuée, les agrésseurs tentant de faire pression sur moi. Mais les règles n'existent pas...."