John Emilston

Nom et Prénom:
John Emilston

Date de naissance/ age:
3 Novembre 2283, 23 ans

Physique:
Je ne vais quand même pas vous dire que John est une bombe, non, c'est un garçon tout à fait comme les autres né entre les autres. Il est assez grand a pas mal de force, ses yeux sont de couleur bleue comme l'écume de la mer et ses cheveux sont aussi noirs que la nuit, ses cheveux, il les tient de son père, ils lui donnent une expression de malveillance, de prudence, ils sont souvent coiffés en pointe au milieu de sa tête et son nez est adoucit sans choquer. Il est assez pâle mais cette pâleur n'est pas très distincte, pas très affirmée. Il tient beaucoup du physique de son père et du caractère de sa mère. Il est souvent habillé de sa robe de sorcier.

Lieu d'habitation:
Il habitent un ancien manoir très sombre et très malveillant d'apparence. Il est, comme son nom l'indique de couleur noir, entouré d'un grand parc et bordé par une fontaine qui est placée devant la porte d'entrée de bois. Il recèle une ambiance froide et humide de l'extérieur et on pourrais croire voir la demeure la plus hostile qui soit et personne ne pourrait croire qu'il s'agit de la maison de l'ancienne et noble famille Emilston. De l'intérieur, l'ambiance est totalement différente, des cheminées sont présentes dans la plupart des pièces et un décor très particulier orne cet endroit, tout est vert et or. Les couleurs de la maison espérées de John: Serpentard. Bien sûr, cette maison n'est pas si accueillante malgré la chaleur qui règne dans cet endroit. En effet, des objets étranges, des flacons méconnus et des bruits inquiétants, tel est l'univers nouveau, une fois rentré. Il y a deux pièces que John n'a jamais visité: le sous sols qui se révèle être très dangereux et le 3e étage réservé à son père lorsqu'il étais là. Aujourd'hui, que sa mère est décédée, il vit seul dans ce manoir...

Moldus/Sorciers
Sorcier

Votre personnage a t il des frères, soeurs ,ont ils aussi des pouvoirs?
Il est fils unique, et vit cela avec difficulté, car la solitude le rend moins sociable...


Caractère:
Ayant pendant longtemps été contraint à la solitude, on pourrait le croire froid et insociable et pourtant, bien qu'il ait un caractère bien à lui, il est très amical avec les gens qu'il estime apte à recevoir son amitié et sa reconnaissance. En fait, si une personne le décevait, et qu'il ne l'appréciait pas, jamais il ne changerait d'avis, il ne l'apprécierait jamais, c'était d'ailleurs ça son défaut, pas qu'il n'était pas sociable mais seulement, si une personne qu'il n'aimait pas s'approchait de lui, il faisait tout pour lui faire comprendre qu'elle n'était pas la bienvenue à côté de lui. Mais même avec ses amis, il donnait l'impression d'être renfermé sur lui-même, jamais il ne dévoilait tout son jeu à ses amis, jamais il ne leur disait tout ce qu'il aimait, il ne donnait aucunement ce qu'il ressentait à ses amis pour la simple et bonne raison que ceux-ci n'avaient pas besoin de connaître cela et aussi parce que, il y avait maintenant trois ans, il avait pleinement fait confiance à un de ses amis: Marc, il lui avait tout révélé sur lui, tout dans les moindre détails et le jour où celui-ci était partit, cela avait déchiré le coeur de John, il n'avait plus personne à qui parler et se confesser, plus aucune main pour le retenir de tomber, ce jour là, il savais que ça ne serais jamais comme avant. Il se refermait toujours sur lui pour éviter de ressentir à nouveau ce sentiment horrible qui l'avait détruit à l'époque. Pire encore, il ne ressentait plus aucune gentillesse en lui, il était même devenu méchant et haïssant envers tout le monde comme si il lui en voulait. Heureusement, ses parents lui restaient fidèles et c'était réciproque, il les aimait plus que tout. Pour couronner le tout, il était devenu vantard et arrogant. Il se sur estimait de ce qu'il faisait comme pour éviter de croire lui même qu'il n'était qu'un abrutis. Il n'avait jamais apprécié les insultes et d'ailleurs, jamais il n'en avait reçu, puisque son entourage savait que c'était précisément ce qu'il ne fallait pas faire. On ne l'avait pas contraint à être odieux, méchant et cruel mais ce caractère est né chez lui comme une facilité, comme la seule possibilité qu'il avait à s'en sortir alors que ce n'était pas du tout vrai. Bien que ses parents soient des mangemorts, ce qui auraient pu dégoûter un enfant de son âge, cela ne faisait pas vaciller John, ils avaient choisit cette voie et John aussi, il ne voulait pas devenir bénéfique pour qui que ce soit. Il adore beaucoup de choses, dont le quidditch mais ce qu'il aimait avant tout, c'était le mystère et l'impression de ne rien savoir, pour tout découvrir plus tard, ce qui signifiait donc qu'il bénéficiait d'un courage fou pour découvrir ce qui le cache de la vérité, et il est près à tout pour réussir ce qu'il entreprend, il déteste le travail non terminé ou bâclé.


Qualités
John est volontaire et ne laisse pas une occasion pour se présenter, motivé donc, il est doué d'une intelligence hors du commu, il est également franc et courageux, sa franchise lui attire parfois des ennemis...



Défauts

Il peut être méprisant, impatient, ca c'est sûr, et malheureusement, il est très froid, par contre, pour ce qui est d'enseigner, il est doué...



Famille :
Père :
Nom et prénom : Adrian Emilston
Âge actuel : 41 ans
Métier : Oubliator
Statut : Sorcier
Relations avec le personnage : Adrian est un père très affectif, mais plutôt affectif parce qu'il est protecteur, il a toujours voulu donner la chance à son fils de ne pas se tromper dans ses choix, il avait toujours très peur que son fils fasse un pas qui l'emmène à un endroit où il ne puisse revenir en arrière.
Histoire :
Adrian est né un 3 août 1973 comme les autres,
d'ailleurs, on ne peut pas dire que Adrian était extraordinaire, d'ailleurs il ne l'était pas, c'était un homme tout à fait normal, dire que c'était un mauvais père aurait été un mensonge mais ce n'était pas le meilleur qu'il soit. De ce que sait John, l'enfance d'Adrian avait été très difficile, il était né de parents moldus et cela l'avait déchiré car il en voulait à ses parents de lui avoir menti sur son origine et eux, aussi incompréhensifs qu'ils soient n'avaient pas accepté que leur fils soit un sorcier, le jour où il avait reçu sa lettre, il ne voulaient pas qu'il y aille et voulait qu'il oublie cette blague mais celui-ci voulait à tout prix connaître ses origine et avait décidé d'aller à Poudlard, ce qui le fit quitter ses parents pour de bon. Et il ne le regrettait pas, il disait à chaque fois à John que si il avait regretté quelque chose dans sa vie c'était bien de ne pas avoir des parents sorciers. Donc il se dirigea vers Poudlard, enfant émerveillé par l'existence de tant de magie qui pour lui n'avait jamais été plus qu'un rêve. Sa première année à Poudlard n'a pas été difficile, il avait d'assez bonnes notes mais il avait la réputation d'être le chamboule tout de l'école, pas un père exemplaire vous direz vous mais ce n'était que la première année, il avait donc un très bon prétexte. Il suivit donc toute ses années normalement jusqu'aux BUSE, il n'avait pas été brillant et on lui avait souvent dit qu'il n'y arriverais jamais même son professeur principal, vous pouvez donc dire que c'était un cas désespéré et pourtant, une histoire, un minime passage de sa vie fit tout bousculer, jusqu'a le traumatiser à tel point qu'il ne faisait plus que travailler. En effet, un soir, alors qu'il faisait nuit noire, pas de quoi attirer un sixième année, alors qu'il faisait sa promenade nocturne habituelle, il trouva, dans un couloir, une autre personne que lui, et a ça vue, cette personne s'en alla en courant mais il oublia quelque chose derrière lui, un livre, et plus spécialement un livre de magie noire. Il avait décidé ce jour là de ramener ce livre comme un butin, il le lut pendant des heures et c'est à partir de ce moment qu'il sut ce qu'il voulait faire, il voulait travailler pour avoir le niveau nécessaire pour faire un apprentissage de magie noire. Il eut donc ses ASPIC avec une moyenne plus qu'acceptable pour un cancre tel qu'il l'était. Après Poudlard, au lieu de commencer dans la vie active comme il l'avait prévu avant, il se rendit donc dans une école spécialisée dans la Magie Noire avant de réaliser qu'il était prêt pour affronter la vie réelle.

Mère :
Nom et prénom : Maria James Ulric => Maria Emilston
Âge actuel : 37 ans
Métier : Infirmière à Sainte Mangouste
Statut : Sorcière
Relations avec le personnage : Elle aime tendrement John et est prête à tout pour éviter qu'il soit en danger, elle n'est pas très mère poule mais elle s'occupait beaucoup de lui bien qu'il déteste son surplus d'affectivité. Elle aime la vie et son fils, car c'est pour elle sa vie.
Histoire :
Maria est née le 27 Mai 1977, le jour où sa mère est morte en la mettant au monde.
Ses premières années, elles les avaient vécues avec son père qui était alors propriétaire d'un magasin au Chemin de Traverse et il avait véritablement souffert de la mort de sa femme mais il s'en était remis avec le temps et il élevait sa fille tendrement et affectivement. Donc, ses premières années avec son père étaient plutôt tranquilles mais à un âge ou elle pouvait comprendre les choses, elle apprit l'histoire de sa naissance et la façon dont est morte sa mère, et pendant cette longue période de sa vie, elle ne s'arrêtait de pleurer que très rarement malgré ce que lui disait son père, elle culpabilisait, elle pensait que c'était de sa faute si sa mère était morte mais son père n'arrêtait pas de la réconforter, ce qui la sombrait encore plus. Un jour, elle reçut un hiboux, elle avait tout de suite pensé à une lettre de sa tante Paulina mais en la lisant, elle fut bouleversée, elle ne savait plus que penser, elle était très contente de pouvoir aller à Poudlard mais elle ne voulait pas quitter son père, enfin, la formule exacte était qu'elle ne voulait pas le laisser seul, elle avait peur qu'il sombre dans la déprime mais son père la poussa le plus possible pour qu'elle y aille en lui disant que c'était une aubaine de changer d'atmosphère, de pouvoir devenir comme sa mère voulait qu'elle devienne. Elle partit donc à Poudlard dans l'espoir certain de pouvoir faire plaisir à sa mère, elle n'avait aucun autre objectif que celui-la, elle se serait privée de tout don magique si elle en avait eu l'occasion pour rester avec son père mais celui-ci la poussait toujours avec le même argument qui la poussait à faire ses études, c'était ce que voulait sa mère. Et elle n'en fut pas déçue, elle obtient toutes ses BUSE sauf celle de divination où elle n'a réussit à avoir aucun point. En fait, ses professeurs le lui disait et elle le savait elle même mais elle ne travaillait dans les matières qui lui semblaient bénéfiques, c'est à dire toute sauf la divination. Il faut dire que le professeur de divination n'était pas le meilleur et n'avait pas le meilleur caractère qu'il soit. Bref, jusqu'au BUSE tout allait bien sauf que l'année des ASPIC fut pire que ce qu'elle attendait, en effet, elle n'arrivait plus à se concentrer et était fatiguée à longueur de journée, elle écrivait à son père qui la réconfortait en lui disant que tout allait bien se passer, elle tenait le choc. Enfin, comme dans le but de gâcher tous ses espoirs, le 23 juillet 1995, elle reçut une lettre rouge du Ministère de la Magie, elle savait ce que c'était puisqu'une amie avait reçut la même deux ans plus tôt, cette lettre lui annonçait bel et bien que son père était mort, la raison, elle ne la connut jamais. Donc l'année des ASPIC a été un massacre, et c'est d'ailleurs à ce moment là qu'elle s'était reconvertie vers le mal, vers le Seigneur des Ténèbres, c'est là, la première fois où elle envisagea de devenir mangemort, ce qui ne lui échappa pas.

Donc un peu plus tard, ils se rencontrèrent et se marièrent pour le meilleur et pour le pire devant le Ministre de la Magie. Il s'étaient unis pour un amour plus que fort durant éternellement, ils se connaissaient déjà et avaient pas mal de choses en communs, comme disait son père, "un bon début". Par la suite, ils emménagèrent dans un manoir dans le Workshire pour une vie paisible. Leur amour restait jusque là toujours impassible, Adrian avait un métier stable au Ministère de la Magie en tant qu'Oubliator et Maria travaillait comme infirmière à Sainte Mangouste, le plus célèbre hôpital sorcier existant. Et en plus de cela, ils étaient tous les deux tournés vers le mal, vers le Seigneur des Ténèbres. Mieux encore, pour prouver leur amour aux yeux de tous le monde (quoique qu'ils n'avaient rien à prouver ^^ !), un incident se produisit, Adrian se retrouva dans l'hôpital où travaillait sa femme pour une maladie très rare à cet âge, la grippe du dragon et pendant exactement 74 jours, sa femme le veillait devant la moindre amélioration ou détérioration, elle lui devait toute sa vie, elle lui devait des sentiments d'amours stable et sans la moindre pitié pour qui que ce soit comme ce le fut avec son ^père. Adrian, mon père finit par se rétablir et ils revinrent donc au manoir, une peur bleue passée dans la tête de Maria, et quelques années plus tard, John naquit, tel un cadeau du ciel, ils réussirent enfin à avoir un fils à qui partager leur amour, à qui donner de la joie de vivre, ils avaient enfin un fils, ce dont ils rêvaient tant. Ils le bordaient et étaient toujours, à chaque instant, très heureux de le revoir, et ils le lui montrèrent, même dans les moments les plus difficile. Et un moment crucial était au moment où cette famille débordait de vivre en train de se préparer, un événement que personne n'oublierait. Après 10 années de pur délice avec leur fils, une interview d'un Auror fit basculer la vie de Maria, d'Adrian et de John. Son père était accusé d'être mangemort, comment ils l'a sut, impossible à savoir puisque à cette réunion, personne de sa famille n'y était puisqu'il avait expliqué au maître qu'il ne pouvait être présent, il fut donc envoyé à Askaban, un moment terrible pour Maria qui n'avait plus que John pour résister pendant l'absence de son mari, elle espère donc tous les jours une évasion massive de mangemort.

Histoire:

Dire que John eut, avant Poudlard une vie difficile serait un mensonge, mais en parlant de vie facile, on serait loin de la vérité, il est vrai que par rapport à certaines personnes, la vie de John aurait pu paraître comme un rêve mais il est, d'après John beaucoup plus compliqué d'en parler de l'extérieur que de le vivre soit même, voici son histoire:

John est né le 9 Juillet 1992 à dans le fabuleux hôpital Sainte Mangouste, c'est d'ailleurs ici que commença son avenir de sorcier, ici qu'il se rendit compte que la magie ferait partie de sa vie, il aurait pu croire qu'une vie avec la magie serait plus facile, de toute façon, à cet âge là, on ne pense pas à grand chose, on ne se complique pas la vie, on vit et c'est tout. Donc à ce moment, il s’attendais à une vie facile sans le moindre problème mais c'était sans compter sur les ennemis qui le guettaient de près, attendant le moment propice pour lui pourrir sa vie espérée tranquille.

Sa mère lui a donné la vie sereinement, je veux dire par là qu'aucun problème n'est survenu lors de sa naissance, tout s'était bien passé dans cette chambre blanche toute carrée avec son père derrière la fenêtre souriant jusqu'au cou de le voir enfin sortit de l'attente, devant ses yeux, il s'empressa de rentrer dans la pièce et de serrer John dans ses bras, c'était magique des deux côtés, ce grand homme paraissant si dure parfois ému au larmes en voyant ce petit bou de rien dans ses bras, c'est fou que la vie est étrange parfois. Donc il s'empressa d'amener la famille, et surtout les voisins, mais pas la trace de personnes âgées pour la simple et bonne raison que plus aucun de ses grands parents ne seraient présent dans les événements importants. C'était le premier moment de sa vie et tout ce que ce petit garçon a trouvé à faire, c'est se mettre à déverser de grosse larmes devant tout ce monde heureux de le voir, mais quand même, il y avait de quoi, plein de monde en train de dire "oh, comment il va le petit à sa maman" ou bien encore "oh le joli petit bout chou, hein qu'il est mignon", ça énerve, parfois même, littéralement, ça saoule mais à cette âge, le seul moyen de s'exprimer, eh bien ce sont les larmes et le système, John l'avait comprit bien assez tôt car quelques instants après, une infirmière rentra, alertée par les gémissements que John faisait dit à tout ce "beau" monde qu'il avait besoin de repos, la preuve que tout le monde n'était pas devenu aveugle par ce surcroît de joie. Et, sans qu'il aie demandé quoi que ce soit, l'infirmière le transporta, loin de celle qui lui avait donné la vie, il pleurait de plus en plus fort à me sure qu'elle me séparait d'eux, il avait conscience d'avoir fait la première erreur de sa vie, et a peine quelques heures alors que tout était partit de l'intention de le laisser tranquille. Donc elle le laissa dans une salle ou, plusieurs bébés comme John étaient là, en train de pleurer ou en train de dormir. Elle le laissa dans un lit et elle partit, il pleurait toujours, jamais il ne me serait venu à l'idée de quitter mes parents si jeunes. Quelle comédie pour si peu direz-vous mais à cet âge, on ne pense pas comme à 14 ans ou plus, on croit que tout restera comme ça l'est, et ce petit garçon alors confiant déchantera bien vite plus tard. Donc John a dût attendre quelques heures, de interminables heures avant de pouvoir retrouver sa mère, elle n'était plus du tout pareille, elle était plus belle et avait l'air moins épuisée, comme quoi, John n'avait pas fait que du bonheur en arrivant au monde. Une fois avec ses parents, il se sentais enfin chez lui , et enfin il allait quitter cet endroit tout blanc sans la moindre décoration rassurante pour un enfant si précoce comme lui. John n'aurait été qu'un moldu, il aurait dût attendre beaucoup plus avant de pouvoir enfin vivre dans sa maison avec sa famille et vivre sa vie tranquille. Ca y était, il allait enfin découvrir l'endroit où il allait passer un grand moment de sa vie.

Ca y est, il est enfin, dans la grande demeure qui l'abriterait pendant tant d'années. Donc le temps de ses premières observations, de tous les premiers sentiments, de la découverte de la vie passa dans un magnifique manoir obscure et d'apparence lugubre, je crois que il l’a aimé, cet endroit dès qu’il y est rentré, cette odeur, il y est tellement attaché qu’il en ferais, je crois un parfum appelé: "mes premières odeurs", Voyez vous, il vient à peine de naître et déjà des idées d'avenir (mouais, enfin, si c'est sur un parfum que tu base ton avenir !!! ^^). Donc, pendant ces moments, où il partait à la découverte de....... sa maison, il allait, et pénétrait partout, faisait un chemin, et le refaisait, aller et le retour à longueur de journée, de quoi vous donner le vertige dix fois et pourtant, il y avait un endroit où John, ne pénétrais jamais, à son plus grand désespoir (Imaginez un aventurier bloqué par une porte et ses parents !!!) et à chaque fois que celui-ci s'approchais, une voix féminine et bien connue lui disait: "non, non, non, c'est pour les grands ici". Donc à chaque fois, à l'instant même où ce garçons avide de curiosité, s'apprêtait à ouvrir cette fichue porte, cette voix maternelle le rappelait à l'ordre pour l'empêcher d'entrer. Oh, je remarque que je ne vous ai pas parlé de sa chambre, quand il y allait, toujours ce parfum tant aimé par son odorat à peine développé et ce lit qui le portait tous les soirs jusqu'au lendemain attendant qu’il se réveille.

Le jour des quatre ans de ce jeune homme, après une longue fête que l'on célébrait pour la bougie en plus à mettre sur son gâteau, sa mère, Maria est allée le chercher dans sa chambre, il était en train de jouer avec une nouvelle peluche, c'était un serpent en plastique, il le faisait détruire tous les autres nounours, enfin façon de parler, oui je sais, déjà cet attirance pour le mal, enfin, revenons à ce que lui a dit sa mère, "alors mon chéri, ça y est, tu as quatre ans, tu dois maintenant aller dans une maternelle pour sorciers, pour que tu apprenne à maîtriser la magie" et d'un geste instinctif, elle regarda le chauffage, car une année plus tôt, alors que John revenait énervé dans sa chambre pour une histoire inutile à raconter ici, il fit exploser le chauffage de sa chambre et comme un débile, après, il se mit à rigoler. Vous auriez pût croire, vu son manque de maturité qu’il se serait mit à pleuré dès qu’on lui aurait parlé d’école, eh bien non, en apprenant la nouvelle John se mit à sauter au cou de sa mère et il l’embrassa, il allait étudier et maîtriser un aperçut de la magie et pourrait ainsi éviter au moins de faire exploser le chauffage, car le canapé du salon est un peu trop dur...

Donc aussitôt dit, aussitôt fait, après cette conversation avec sa mère, direction un gros bâtiment orné de magie pour cinq années de travail mais ce n'est pas ce qui le réjouissait le plus, il allait enfin trouver des gens comme lui, et peut-être se faire des amis enfin, c'est ce qu’il croyait à ce moment là et d'ailleurs, c'est ce qu’il crut pendant cinq ans mais ce n'est pas encore le moment de vous le dire. Donc le voilà, tout fier, tout content en train de se diriger vers l'école, et voilà qu’il pénètre à l'intérieur et comme pour l'accueillir, et d’ailleurs, c’était assez direct comme accueil, deux gamins (enfin, ils avaient le même age que John !!!) se dirigèrent vers celui-ci et lui demandèrent si il aimait les boursouflets,John leur dit que oui bien qu’il doit avouer que jamais il n’en avait entendu parlé, enfin bref, le voila partit dans une conversation où il n'y comprenait pratiquement rien et quand on lui posait une question, il répondait: "c'est pas faux" (petite ressemblance avec une série, vous aurez remarqué !!!). Mais avant que les deux "gamins" aient finis leur discussion, une autre personne plus grande vînt leur dire de rentrer en classe. Enfin, après leur premier cour, le petit garçon si pressé le matin était plutôt déçut le soir, au lieu d'utiliser la magie, comme il l'avait espéré, tous les élèves se retrouvaient devant une table, dessinaient, parlaient ou lisaient, un peu comme chez lui, dans le grand manoir familial mais avec un peu plus de monde pour que vous vous fassiez une idée. Quand même un brin de satisfaction dans cette journée, j'avais trouvé un ami, et un ami plus que fidèle à mes yeux, il s'appelait Benjamin mais nous, on l'appelait Benji, il était super sympa et d'ailleurs, si je voulait retourner en cour le lendemain, c'était bien grâce à lui. Et les journées se succédèrent tous avec leurs moments de joie comme de malheur mais en fin de compte, j'avais bien évolué, j'avais développé des caractères qui me décrivaient bien dans l'ensemble. Il apparaissait que je me sentais souvent frustré, et ça, il suffisait de me le demandé pour que je vous réponde pourquoi j'étais frustré, c'étais simple, ces temps derniers, Benji n'étais plus autant sourieur, il était moins joueur et la dernière fois que je l'ai vu, il avait refusé une partie de dés qu'il ne refusait jamais auparavant. Je ne savait plus que faire, je sentais qu'il s'attristait de jour en jour, il en avait peut-être marre de moi, mais en le lui demandant, il me dit que ce n'était pas cela et, alors que nous avions 9 ans, ils m'annonça qu'il allait déménager !!! Vous ne pouvez pas imaginer la grosse déchirure qui se fit dans mon coeur le jour où il me dit cela, je ne savais plus que dire ni que faire quand j'étais face à lui, tout ce que je faisait, c'était penser, penser et réfléchir, à quoi? et bien, aussi étrange que cela puisse vous paraître, je pensais au vide, à rien, exactement, je me demandais si ca aurait fait cet effet là lorsqu'il serait partit, alors je tentais pour voir si c'était tenable mais il apparaissait qu'il lui était impossible de résister à la solitude, il n'était pas fait pour vivre seul, et il se dit qu'il ferait bien de trouver un nouvel ami au cas où, comme si des amis, c'était remplaçable.

Ce que j'ai redouté, et qui me pendait sous le nez arriva, mon seul et unique ami partit, et c'est sous les larmes que je lui offrit mon cadeau d'adieux, une magnifique paire de chaussette d'invisibilité, vous les portez et vos pieds disparaissent (voila une partie de ma fascination pour Fred et George !!!), j'y avais mit toute mes économie et espérait qu'il les garderaient toujours en mon souvenir. Et voila, une partie de ma vie partie, un morceau de mon coeur arraché, un moment de ma mémoire abîme, et ce que je redoutait plus encore arriva à grande vitesse, tel de l'eau sur du fer, la solitude me rongeait, du désespoir me faisait souffrir et m'empêchait de prononcer le mot "ami", même mes parents ne pouvait rien y faire, je n'avais plus d'amis, j'étais "Seul au monde" (allez, avouez, vous connaissez)et pour vous prouver que mon désespoir était très important, dans mes rêves, je me voyait en enfer sans mes parents ni avec Benji et demander à un nuage: je suis John (une célébrité ^^), sortez moi de là! Cela prouve à quel point je ne pouvais plus supporter ce sentiment de solitude, à quel point j'en avais marre d'avoir un sentiment de détresse.

Avec le temps, je finit par m'habituer par ce sentiment de solitude, le fer aura finit par résister à l'eau, je crois que j'ai trouvé ce qui me faisait supporter cette douleur intense qui me rongeait l'esprit, je notais tous les moments de bonheur qui avaient occupé ma vie, parfois, je souriait même en les écrivant, je n'étais plus le bout de chu pleurnichard d'il y a 8 ans, je cherchais l'infime espoir de me retrouver avec quelqu'un, un ami, d'ailleurs au passage, j'avais enfin comprit que les amis ne se changent pas. Je ne m'attendais pas à ce qui arriva, quelques mois plus tard après cette "rupture" avec Benji.

Un jour, comme les autres, ne prêtant aucune inquiétude à première vue, j'étais en bas, en train de lire, comme d'habitude, la Gazette du Sorcier où, en première page, on voyait un Auror en train de dicter une liste de mangemorts, et avant que je ne lise la liste, quelqu'un frappa à la porte de la maison, je cria haut et fort pour que mes parents puissent m'entendre "j'y vais" et d'un pas de course, je me précipitais vers la porte pour ouvrir, j'aurais sût ce ui m'attendait derrière cette planche de bois, je ne me serais pas précipité comme un petit lapin, au contraire, je me serais enfuis et aurais tout fait pour que ces trois monsieur ne rentrent pas. En effet, à peine avoir ouvert la porte que des messieurs pénètrent dans la maisons, la mine lugubres avec des lunettes noires, je m'écriait, comme pour les empêcher de passer: "mais que faites-vous, sortez d'ici espèces de crétins" et sans plus de cérémonie, je flanqua mon poing dans la figure d'un des monsieur et celui-ci sortit sa baguette magique et m'attacha contre le mur, je cria à l'adresse de ma mère: "maman, ya des messieurs qui foutent le bordel ici" et elle descendit avec papa, et les messieurs, lancèrent un sortilège de stupéfixion sur mon père qui le contra et lança un avada kedavra, mon sortilège préféré (quelle violence !!! ^^) sur un des messieurs qui en tomba raide mais les deux autres ne se laissèrent pas faire et s'emparèrent de lui, quand à maman, elle avait été attachée, comme savaient-il que papa était un mangemort mais qu'il ne savaient pas que maman en était également une? Je réussit alors à me détacher et flanqua un coup de pied à un des messieurs qui tomba, et après s'être relevé en colère, il m'envoya à l'autre bout de la pièce d'un simple coup de bras. Je commençais à pleurer tellement j'avais peur, ils m'enlevaient mon père et je ne pouvait rien, j'en voulait au monde entier, et c'est exactement à ce moment là que je décidait officiellement (ptdr ^^) de devenir moi-même mangemort et que je me consacrerait aux livres et à l'étude pour avoir le niveau requit.

Des semaines passèrent plus lentement, tel une torture à feu doux, j'étais quand même rassuré que les Détraqueurs ne soient plus les gardiens d'Askaban et en même temps en pleurs sachant que ce n'était plus eux (allez y comprendre quelques chose ^^) content de leur absence à Askaban car ils ne l'aurait pas fait souffrir et malheureux de leur absence car eux seul l'aurait laissé partir étant donné qu'ils s'étaient ralliés aux mangemorts, bref, je ne savais plus quoi faire et pour couronner le tout, arriva, deux mois plus tard une certaine lettre qui finit sa course dans la cheminée.

En pleine après-midi, alors que j'étais avec ma mère qui pleurait encore, je la consolait, en lui disant qu'il reviendrait ou que lui même le sauverait, un hiboux, de couleur blanche neige, nous ne l'avions jamais vu, pénétra dans le manoir et déposa une lettre sur mes genoux avant de repartir. Je décrocha la lettre et la lut:

Cher Monsieur Emilston,
Je suis heureux de vous dire que vous avez été accepté à Poudlard, la plus grande école de sorcellerie située à Londres [...]

Le reste, John s'en fichait, tout ce qui lui importait, c'était qu'il devait maintenant quitter sa mère pour aller à Poudlard et il ne le voulait pas, il ne voulait pas qu'elle reste seule à pleurer, et elle devait savoir ce qu'il pensait car elle me dit: "je peux me débrouiller seule, tu dois y aller", elle me sourit et ça m'ému, je l'embrassa, et maintenant, plus qu'une seule chose à dire,
Me voila!!!
Il sera inutile de vous décrire ses années à Poudlard puisqu'elle n'ont eu aucun impact sur sa personalité ni sur quoi que ce soit de chez lui, il est d'ailleurs important de parler de son indifférence lorsqu'il reçut une lettre rouge parlant de sa mère, donc il sortit de Poudlard en pleine forme pour faire des études et devenir professeur d'histoire de la magie dans plusieurs écoles, et le revoila dans l'école de son enfance...

Ohhhhhhhhhhhhhhhhhh !!! Putin ...dsl pour le therme mais ta fiche est géniale !!!!!

merci, quand saurais si je suis accepté comme professeur ?

C'est a chloée de dire si c'est possible ou non

Quelle présentation! Bravo! Le poste étant libre, et ton syle d'écriture des meilleurs, je t'offre le poste. Cependant, il faut que je supprime tous les message de l'ancien professeur. Merci de ta patience. Je te met ton rang et valide ta présentation.

Bravo et bienvenue !

Minute minute papillons!!Eh on attends plus mon post???lol!

C'est une excellente présentation john.Tu as vraiment eu du courage pour en écrire une si longue!!

Mais visiblement les autres non pas lu entre les lignes car bien que la première partie de l'histoire sois pratiquement parfaite (encore bravo) l'hisoire est nettement moins bonne....

Citation :

Je

Tu n'es pas John Emilson , mais un narrateur extérieur qui raconte sa vie.Tu dois donc écrire a la troisième personne du singulier ou pluriel...

Citation :

Ma mère m'a donné la vie sereinement, je veux dire par là qu'aucun problème n'est survenu lors de ma naissance, tout s'était bien passé dans cette chambre blanche toute carrée avec mon papa derrière la fenêtre souriant jusqu'au cou de me voir enfin sortit de l'attente, devant ses yeux, il s'empressa de rentrer dans la pièce et de me serrer dans ses bras, c'était magique des deux côtés, ce grand homme paraissant si dure parfois ému au larmes en voyant ce petit bou de rien dans ses bras, c'est fou que le vie est étrange parfois.

Ton style est magnifique , je dois bien l'avouer , mais essaie de faire plus de poses, c'est difficile a lire en une fois.

Citation :

Serpentard

Citation :

Dumbledore

Tu dois changer les fautes de ce genre, car nous ne sommes plus au meme poudlard....

Citation :

Seigneur des Ténèbres

Il n'est plus le meme maintenant fais attention , nous sommes 300 ans après harry potter et ses amis...


Je suis désolée mais tu vas devoir corriger ses erreurs meme si maintenant tu as commencé tes cours.J'espère que ca ne vas pas te paraitre trop barbant d'avoir a faire cela en plus du long travail que du donner déjà....

Voilà donc bonne chance et

BIENVENUE!

Dois je modifier chaque pronoms ?

heu je croit que....oui ^^'

Non, non, je vais m'en occuper ^^

Histoire:

Dire que John eut, avant Poudlard une vie difficile serait un mensonge, mais en parlant de vie facile, on serait loin de la vérité, il est vrai que par rapport à certaines personnes, la vie de John aurait pu paraître comme un rêve mais il est, d'après John beaucoup plus compliqué d'en parler de l'extérieur que de le vivre soit même, voici son histoire:

John est né le 9 Juillet 1992 à dans le fabuleux hôpital Sainte Mangouste, c'est d'ailleurs ici que commença son avenir de sorcier, ici qu'il se rendit compte que la magie ferait partie de sa vie, il aurait pu croire qu'une vie avec la magie serait plus facile, de toute façon, à cet âge là, on ne pense pas à grand chose, on ne se complique pas la vie, on vit et c'est tout. Donc à ce moment, il s’attendais à une vie facile sans le moindre problème mais c'était sans compter sur les ennemis qui le guettaient de près, attendant le moment propice pour lui pourrir sa vie espérée tranquille.

Sa mère lui a donné la vie sereinement, je veux dire par là qu'aucun problème n'est survenu lors de sa naissance, tout s'était bien passé dans cette chambre blanche toute carrée avec son père derrière la fenêtre souriant jusqu'au cou de le voir enfin sortit de l'attente, devant ses yeux, il s'empressa de rentrer dans la pièce et de serrer John dans ses bras, c'était magique des deux côtés, ce grand homme paraissant si dure parfois ému au larmes en voyant ce petit bou de rien dans ses bras, c'est fou que la vie est étrange parfois. Donc il s'empressa d'amener la famille, et surtout les voisins, mais pas la trace de personnes âgées pour la simple et bonne raison que plus aucun de ses grands parents ne seraient présent dans les événements importants. C'était le premier moment de sa vie et tout ce que ce petit garçon a trouvé à faire, c'est se mettre à déverser de grosse larmes devant tout ce monde heureux de le voir, mais quand même, il y avait de quoi, plein de monde en train de dire "oh, comment il va le petit à sa maman" ou bien encore "oh le joli petit bout chou, hein qu'il est mignon", ça énerve, parfois même, littéralement, ça saoule mais à cette âge, le seul moyen de s'exprimer, eh bien ce sont les larmes et le système, John l'avait comprit bien assez tôt car quelques instants après, une infirmière rentra, alertée par les gémissements que John faisait dit à tout ce "beau" monde qu'il avait besoin de repos, la preuve que tout le monde n'était pas devenu aveugle par ce surcroît de joie. Et, sans qu'il aie demandé quoi que ce soit, l'infirmière le transporta, loin de celle qui lui avait donné la vie, il pleurait de plus en plus fort à me sure qu'elle me séparait d'eux, il avait conscience d'avoir fait la première erreur de sa vie, et a peine quelques heures alors que tout était partit de l'intention de le laisser tranquille. Donc elle le laissa dans une salle ou, plusieurs bébés comme John étaient là, en train de pleurer ou en train de dormir. Elle le laissa dans un lit et elle partit, il pleurait toujours, jamais il ne me serait venu à l'idée de quitter mes parents si jeunes. Quelle comédie pour si peu direz-vous mais à cet âge, on ne pense pas comme à 14 ans ou plus, on croit que tout restera comme ça l'est, et ce petit garçon alors confiant déchantera bien vite plus tard. Donc John a dût attendre quelques heures, de interminables heures avant de pouvoir retrouver sa mère, elle n'était plus du tout pareille, elle était plus belle et avait l'air moins épuisée, comme quoi, John n'avait pas fait que du bonheur en arrivant au monde. Une fois avec ses parents, il se sentais enfin chez lui , et enfin il allait quitter cet endroit tout blanc sans la moindre décoration rassurante pour un enfant si précoce comme lui. John n'aurait été qu'un moldu, il aurait dût attendre beaucoup plus avant de pouvoir enfin vivre dans sa maison avec sa famille et vivre sa vie tranquille. Ca y était, il allait enfin découvrir l'endroit où il allait passer un grand moment de sa vie.


Ca y est, il est enfin, dans la grande demeure qui l'abriterait pendant tant d'années. Donc le temps de ses premières observations, de tous les premiers sentiments, de la découverte de la vie passa dans un magnifique manoir obscure et d'apparence lugubre, je crois que il l’a aimé, cet endroit dès qu’il y est rentré, cette odeur, il y est tellement attaché qu’il en ferais, je crois un parfum appelé: "mes premières odeurs", Voyez vous, il vient à peine de naître et déjà des idées d'avenir (mouais, enfin, si c'est sur un parfum que tu base ton avenir !!! ^^). Donc, pendant ces moments, où il partait à la découverte de....... sa maison, il allait, et pénétrait partout, faisait un chemin, et le refaisait, aller et le retour à longueur de journée, de quoi vous donner le vertige dix fois et pourtant, il y avait un endroit où John, ne pénétrais jamais, à son plus grand désespoir (Imaginez un aventurier bloqué par une porte et ses parents !!!) et à chaque fois que celui-ci s'approchais, une voix féminine et bien connue lui disait: "non, non, non, c'est pour les grands ici". Donc à chaque fois, à l'instant même où ce garçons avide de curiosité, s'apprêtait à ouvrir cette fichue porte, cette voix maternelle le rappelait à l'ordre pour l'empêcher d'entrer. Oh, je remarque que je ne vous ai pas parlé de sa chambre, quand il y allait, toujours ce parfum tant aimé par son odorat à peine développé et ce lit qui le portait tous les soirs jusqu'au lendemain attendant qu’il se réveille.


Le jour des quatre ans de ce jeune homme, après une longue fête que l'on célébrait pour la bougie en plus à mettre sur son gâteau, sa mère, Maria est allée le chercher dans sa chambre, il était en train de jouer avec une nouvelle peluche, c'était un serpent en plastique, il le faisait détruire tous les autres nounours, enfin façon de parler, oui je sais, déjà cet attirance pour le mal, enfin, revenons à ce que lui a dit sa mère, "alors mon chéri, ça y est, tu as quatre ans, tu dois maintenant aller dans une maternelle pour sorciers, pour que tu apprenne à maîtriser la magie" et d'un geste instinctif, elle regarda le chauffage, car une année plus tôt, alors que John revenait énervé dans sa chambre pour une histoire inutile à raconter ici, il fit exploser le chauffage de sa chambre et comme un débile, après, il se mit à rigoler. Vous auriez pût croire, vu son manque de maturité qu’il se serait mit à pleuré dès qu’on lui aurait parlé d’école, eh bien non, en apprenant la nouvelle John se mit à sauter au cou de sa mère et il l’embrassa, il allait étudier et maîtriser un aperçut de la magie et pourrait ainsi éviter au moins de faire exploser le chauffage, car le canapé du salon est un peu trop dur...


Donc aussitôt dit, aussitôt fait, après cette conversation avec sa mère, direction un gros bâtiment orné de magie pour cinq années de travail mais ce n'est pas ce qui le réjouissait le plus, il allait enfin trouver des gens comme lui, et peut-être se faire des amis enfin, c'est ce qu’il croyait à ce moment là et d'ailleurs, c'est ce qu’il crut pendant cinq ans mais ce n'est pas encore le moment de vous le dire. Donc le voilà, tout fier, tout content en train de se diriger vers l'école, et voilà qu’il pénètre à l'intérieur et comme pour l'accueillir, et d’ailleurs, c’était assez direct comme accueil, deux gamins (enfin, ils avaient le même age que John !!!) se dirigèrent vers celui-ci et lui demandèrent si il aimait les boursouflets, John leur dit que oui bien qu’il doit avouer que jamais il n’en avait entendu parlé, enfin bref, le voila partit dans une conversation où il n'y comprenait pratiquement rien et quand on lui posait une question, il répondait: "c'est pas faux" (petite ressemblance avec une série, vous aurez remarqué !!!). Mais avant que les deux "gamins" aient finis leur discussion, une autre personne plus grande vînt leur dire de rentrer en classe. Enfin, après leur premier cour, le petit garçon si pressé le matin était plutôt déçut le soir, au lieu d'utiliser la magie, comme il l'avait espéré, tous les élèves se retrouvaient devant une table, dessinaient, parlaient ou lisaient, un peu comme chez lui, dans le grand manoir familial mais avec un peu plus de monde pour que vous vous fassiez une idée. Quand même un brin de satisfaction dans cette journée, John avait trouvé un ami, et un ami plus que fidèle à ses yeux, il s'appelait Benjamin mais lui, préférait l’appeler Benji, il était super sympa et d'ailleurs, si John voulait retourner en cour le lendemain, c'était bien grâce à lui. Et les journées se succédèrent tous avec leurs moments de joie comme de malheur mais en fin de compte, l’enfant au début, si précoce, avait bien évolué, il avait développé des caractères qui le décrivaient bien dans l'ensemble. Il apparaissait que, étrangement, John se sentait souvent frustré, et ça, il suffisait de le lui demander pour qu’il vous réponde pourquoi celui-ci était frustré, c'était simple, ces temps derniers, Benji n'étais plus autant sourieur, il était moins joueur et la dernière fois que John l’ait vu, son ami avait refusé une partie de dés qu'il ne refusait jamais auparavant. John ne savait plus que faire, il sentait qu'il s'attristait de jour en jour, il en avait peut-être marre de lui, pensait-il, mais en le lui demandant, il lui répondit (à John) que ce n'était pas cela et, alors qu’ils n’avaient que 9 ans, il lui annonça qu'il allait déménager !!! Vous ne pouvez pas imaginer la grosse déchirure qui se fit dans le coeur du jeune garçon et le jour où il lui dit cela, John ne savait plus que dire ni que faire quand il était face à lui, tout ce qu’il faisait, c'était penser, penser et réfléchir, à quoi? Et bien, aussi étrange que cela puisse vous paraître, il pensait au vide, à rien, exactement, il se demandait si ça aurait fait cet effet là lorsque Benji serait partit, alors il tentait pour voir si c'était tenable mais il apparaissait qu'il lui était impossible de résister à la solitude, il n'était pas fait pour vivre seul, et il se dit qu'il ferait bien de trouver un nouvel ami au cas où, comme si des amis, c'était remplaçable.




Ce que John redoutait, et qui lui pendait sous le nez arriva, son seul et unique ami partit, et c'est sous les larmes que John lui offrit son cadeau d'adieux, une magnifique paire de chaussette d'invisibilité, vous les portez et vos pieds disparaissent (voila une partie de ma fascination pour Fred et George !!!), il y avais mit toute ses économie et espérait qu'il les garderaient toujours en son souvenir. Et voila, une partie de sa vie partie, un morceau de son coeur arraché, un moment de sa mémoire abîmé, et ce qu’il redoutait plus encore arriva à grande vitesse, tel de l'eau sur du fer, la solitude le rongeait, du désespoir le faisait souffrir et l'empêchait de prononcer le mot "ami", même ses parents ne pouvaient rien y faire, John n'avais plus d'amis, il était "Seul au monde" (allez, avouez, vous connaissez) et pour vous prouver que son désespoir était important, dans ses rêves, il se voyait en enfer sans ses parents ni avec Benji et demander à un nuage: je suis John (une célébrité ^^), sortez moi de là! Cela prouve à quel point il ne pouvait plus supporter ce sentiment de solitude, à quel point il en avait marre d'avoir un sentiment de détresse.

Avec le temps, John finit par s'habituer à ce sentiment de solitude, le fer aura finit par résister à l'eau, je crois que John a trouvé ce qui lui faisait supporter cette douleur intense qui lui rongeait l'esprit, il notait tous les moments de bonheur qui avaient occupé sa vie, et, parfois, il souriait même en les écrivant, ce n'était plus le bout de chou pleurnichard d'il y a 8 ans, aujourd’hui, il cherchait l'infime espoir de se retrouver avec quelqu'un, un ami, d'ailleurs au passage, John avait enfin comprit que les amis ne se changent pas. Il ne s'attendait pas à ce qui arriva, quelques mois plus tard après cette "rupture" avec Benji.


Un jour, comme les autres, ne prêtant aucune inquiétude à première vue, John était en bas, en train de lire, comme d'habitude, la Gazette du Sorcier où, en première page, on voyait un Auror en train de dicter une liste de mangemorts, et avant qu’il ne lise la liste, quelqu'un frappa à la porte de la maison, et John cria haut et fort pour que ses parents puissent l'entendre "j'y vais" et d'un pas de course, il se précipita vers la porte pour ouvrir, il avait sût ce qu’il l’attendait derrière la porte, jamais il n’aurait ouvert la protection de bois qui le maintenait du danger, au contraire, il se serait enfuit et aurait tout fait pour que ces trois monsieur ne rentrent pas. En effet, à peine avoir ouvert la porte que des messieurs pénètrent dans la maisons, la mine lugubre avec des lunettes noires, John s’écria, comme pour les empêcher de passer: "mais que faites-vous, sortez d'ici espèces de crétins" et sans plus de cérémonie, il flanqua son poing dans la figure d'un des monsieur et celui-ci sortit sa baguette magique et l'attacha contre le mur, Il cria à l'adresse de sa mère: "maman, ya des messieurs qui foutent le bordel ici" et elle descendit avec Adrian, et les messieurs, lancèrent un sortilège de stupéfixion sur son père qu’il contra en renvoyant un avada kedavra, mon sortilège préféré (quelle violence !!! ^^) sur un des messieurs qui en tomba raide mais les deux autres ne se laissèrent pas faire et s'emparèrent de lui, quand à Maria, elle avait été attachée, comment savaient-il que son père était un mangemort mais qu'il ne savaient pas que maman en était également une, n’arrêtait-il pas de se demander... Il réussit alors à se détacher et flanqua un coup de pied à un des messieurs qui tomba, et après s'être relevé en colère, il l'envoya à l'autre bout de la pièce d'un simple coup de bras. John commençais à pleurer tellement il avait peur, ils lui enlevaient son père et il ne pouvait rien, il en voulait au monde entier, et c'est exactement à ce moment là qu’il décida officiellement (ptdr ^^) de devenir lui-même mangemort et qu’il ne se consacrera qu’aux livres et à l'étude pour avoir le niveau requit.

Des semaines passèrent plus lentement, tel une torture à feu doux, John était quand même rassuré que les Détraqueurs ne soient plus les gardiens d'Askaban et en même temps en pleurs sachant que ce n'était plus eux (allez y comprendre quelque chose ^^) content de leur absence à Askaban car ils ne l'aurait pas fait souffrir et malheureux de leur absence car eux seul l'aurait laissé partir étant donné qu'ils s'étaient ralliés aux mangemorts, bref, il ne savait plus quoi faire et pour couronner le tout, arriva, deux mois plus tard une certaine lettre qui finit sa course dans la cheminée.

En pleine après-midi, alors que John était avec sa mère qui pleurait encore, étant en train de la consoler, en lui disant qu'il reviendrait ou que lui même le sauverait, un hiboux, de couleur blanche neige, nous ne l'avions jamais vu, pénétra dans le manoir et déposa une lettre sur ses genoux avant de repartir. Le jeune homme décrocha la lettre et la lut:

Cher Monsieur Emilston,
Je suis heureux de vous dire que vous avez été accepté à Poudlard, la plus grande école de sorcellerie située à Londres [...]

Le reste, John s'en fichait, tout ce qui lui importait, c'était qu'il devait maintenant quitter sa mère pour aller à Poudlard et il ne le voulait pas, il ne voulait pas qu'elle reste seule à pleurer, et elle devait savoir ce qu'il pensait car elle me dit: "je peux me débrouiller seule, tu dois y aller", elle lui sourit et ça l'ému, il l'embrassa, et partit pour Poudlard. Il sera inutile de vous décrire ses années à Poudlard puisqu'elle n'ont eu aucun impact sur sa personalité ni sur quoi que ce soit de chez lui, il est d'ailleurs important de parler de son indifférence lorsqu'il reçut une lettre rouge parlant de sa mère,

Le problème, et j'y ai pensé, c'est que, en éditant, ca prenait trop longtemps et le serveur abbandonnait, donnc j'ai dûr réécrire...

Bienvenue John! Ta présentation est géniale, je n'ai vraiment rien à redire. Tu fais maintenant partie de l'équipe des enseignants du Forum, donc Bienvenue!

Encore bravo pour ta formidable présentation!